• Beyrouth, Liban, 15 décembre 2008

    La presse mondiale appelle à la liberté de la presse dans le monde arabe

    L'Association Mondiale des Journaux a condamné l'absence de liberté de
    presse dans une grande partie du monde arabe et appelé les gouvernements
    d'Afrique du Nord, du Moyen-Orient et du Golfe Persique à mettre fin à leurs
    politiques répressives et à libérer tous les journalistes, blogueurs et
    défenseurs de la liberté d'expression qui sont emprisonnés.

    « L'hostilité envers les médias indépendants et d'opposition, et envers les
    voix critiques en général est devenue alarmante, et les mécanismes de la
    répression de la libre expression sont utilisés, de manière subtile ou
    flagrante, par les dirigeants politiques et religieux, les forces de l'ordre
    et le pouvoir judiciaire », a déclaré dans une résolution le Conseil
    d'administration de l'AMJ réuni à Beyrouth, au Liban, le lundi (15
    décembre).

    “Dans une grande partie de la région, tous ceux qui osent exprimer une
    opinion dissidente, enquêter sur les défaillances ou les fautes du
    gouvernement, contester des politiques indéfendables et appeler à la réforme
    risquent d'être accusés de diffamation publique, de blasphème ou d'atteinte
    à la sécurité nationale, et sont régulièrement condamnés à de lourdes
    amendes et à l'emprisonnement », poursuit la résolution, que vous trouverez
    sur http://www.wan-press.org/article17954.html .

    L'AMJ a publié cinq autre résolutions pour :

    - Condamner l'impunité apparente accordée par le gouvernement du Burkina
    Faso au meurtrier présumé du journaliste Norbert Zongo tué il y a dix ans,
    et appeler le Président à lever cette protection politique et à traduire
    rapidement ses assassins en justice.  (lire la résolution complète sur
    http://www.wan-press.org/article17955.html )

    - Condamner la violence croissante dont font l'objet les journalistes au
    Pakistan, et appeler le gouvernement à prendre toutes les mesures
    nécessaires pour garantir un environnement plus sûr aux journalistes
    (http://www.wan-press.org/article17956.html) ;

    - Appeler les autorités philippines à prendre des mesures pour mettre fin à
    la violence contre les journalistes qui couvrent des questions comme le
    crime, la corruption, le détournement de fonds publics et les expropriations
    (http://www.wan-press.org/article17957.html ) ;

    - Appeler la junte au pouvoir en Birmanie à mettre fin à la répression de la
    liberté d'expression, et appeler les membres de l'Association des Nations de
    l'Asie du Sud-est (ASEAN) à abandonner leur politique discréditée de
    non-ingérence et à faire pression sur les dirigeants birmans
    (http://www.wan-press.org/article17958.html ) ;

    - Appeler les dirigeants cubains à libérer les 26 journalistes condamnés à
    de longues peines de prison et à créer un environnement propice au
    développement de la presse indépendante
    (http://www.wan-press.org/article17959.html ).

    L'AMJ, l'organisation mondiale de l'industrie de la presse, qui est basée à
    Paris, défend et promeut la liberté de la presse et les intérêts
    professionnels et économiques des journaux dans le monde entier.
    Représentant 18.000 titres, elle regroupe 77 associations nationales
    d'éditeurs de journaux, des entreprises de presse et des directeurs de
    journaux individuels dans 102 pays, 12 agences de presse et 11 organisations
    régionales et internationales de médias.

    Pour toute question, contactez : Larry Kilman, Directeur de la
    Communication, AMJ, 7 rue Geoffroy St Hilaire, 75005 Paris France. Tél : +33
    1 47 42 85 00. Fax: +33 1 47 42 49 48. Mobile: +33 6 10 28 97 36. E-mail :
    lkilman@wan.asso.fr



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  • Par M.A Le 10è sommet sahélo-saharien, appellé CEN-SAD, a déparré ce dimanche 15 juin 2008 avec la réunion des ministres qui vont élaborer un rapport qui sera validé par les chefs d'Etatprésents à Cotonou." Développement rural et sécurité alimentaire dans l'espace CEN-SAD": c'est le thème central qui va polariser toutes les attentions. En prélude à ce sommet les experts ont travaillé les 12 et 13 juin 2008; leurs travaux ont tourné autour des problèmes que rencontre l'Afrique et crise alimentaire, crise énergétique,manque d'infrastructures routières, retard dans l'application des objectifs du millénaire. C'est sur ces différents points que les ministres de l'espace Cen-sad vont discuter aujourd'hui et demain afin d'élaborer le rapport; c'est après cela que les chefs d'Etat arrivés à Cotonou vont tenir une assise les 17 et 18 juin 2008 pour valider ledit rapport dans la perspective de trouver des voies et moyens pour sauver l'Afrique de la crise alimentaire en prenant pour socle le développement de son potentiel agricole. A ce 10è sommet c'est le Président béninois, le Dr Boni Yayi qui prend la présidence de la Cen-sad. Cet après-midi, l'hôte le plus attendu , le guide islamique, Mohamar El Khadafi est arrivé à Cotonou par voie de terre via Kara à Lomé ( Togo) oû il a donné des conférences publiques. Rappellons qu'après l'étape de Cotonou, les chefs d'Etat iront à Abudja oû se tient un autre sommet celui de la CEDEAO, lequel sommet sera axé sur l' économie.  Ensuite après Abudja, une autre réunion regroupera les chefs d'Etat du 29 juin au 1er juillet autour du MAEP, les questions du NEPAD et de l'Union africaine. Environs 2000 hôtes sont attendus à Cotonou. Une centaine de villas de type présidentiel ont été construites à Agblangandan, situé entre Porto-Novo et Cotonou pour accueillir les hôtes.


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  • L'Afrique pleure Aimé Césaire, poète antillais et chantre de la négritude décédé jeudi, considéré par de nombreux intellectuels comme un "éveilleur de conscience" qui a contribué à rendre sa "dignité" à l'Homme noir, notamment dans sa lutte contre le colonialisme. Mais des voix s'élèvent aussi pour regretter qu'il n'ait pas été distingué par un prix Nobel ou, à l'instar du "poète-président" sénégalais Léopold Sedar Senghor. Aimé Césaire, disparu à l'âge de 94 ans, est "l'homme qui a éveillé à la conscience de l'identité noire non seulement les Noirs de la diaspora mais, nous, les Noirs d'Afrique", a indiqué à l'AFP Cheikh Hamidou Kane, auteur d'un des monuments de la littérature africaine "L'aventure ambiguë". Pour le président sénégalais Abdoulaye Wade, "c'est une catastrophe non seulement pour la Martinique, les Caraïbes, la France mais particulièrement pour l'Afrique et le monde noir". Afp

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  • Crise de l'École : L'intégralité de la déclaration du Premier ministre

     

     

    La crise que connaît l'École est une véritable préoccupation nationale. Dans le cadre de la recherche d'une solution durable à la situation, le Premier ministre, Modibo Sidibé a procédé hier à une série de consultations avec les acteurs et partenaires de l'École. Il a ainsi discuté successivement avec les représentants des confessions religieuses, les responsables des deux centrales syndicales (l'Untm et la Cstm), le Syndicat national de l'enseignement supérieur, la Confédération des syndicats de l'enseignement secondaire, la Fédération de l'éducation nationale. Le chef du gouvernement a également reçu les responsables du Syndicat national de l'éducation et de la culture, de l'Association des élèves et étudiants du Mali et de l'Amicale des anciens militants et sympathisants de l'Uneem, la classe politique et la société civile. À l'issue de ces concertations, le chef du gouvernement a fait une déclaration dans laquelle il fait un diagnostic lucide de la situation, avant d'appeler au sursaut collectif. Nous vous proposons l'intégralité de la déclaration.

     

    << Chers compatriotes, Depuis environ deux décennies l'École malienne connaît, de façon récurrente, des années scolaires et universitaires ponctuées de perturbations et de troubles. Notre École est, en effet devenue le théâtre de nombreux dysfonctionnements, conduisant à des entorses graves au déroulement normal des cours, voire à des années blanches. Une situation préoccupante car elle porte en elle, tous les germes de la dégradation de la qualité de la ressource humaine, la plus précieuse de toutes les ressources. Le président de la République a tiré la sonnette d'alarme lors de la célébration du 8 mars, Journée internationale de la femme, en interpellant l'ensemble des acteurs et partenaires du système éducatif, sur la situation de l'école et singulièrement les femmes, tant, tout ce qui touche l'enfant et la mère, touche la famille et la nation.

     

    Chers compatriotes, De nouvelles pratiques ont fait jour dans nos écoles et dans nos facultés dont notre système éducatif ne peut s'accommoder, parce qu'elles sont contraires à notre éthique, à nos valeurs de travail, de courage, et de sacrifice. Nul n'ignore cependant, les immenses efforts déployés ces dernières années par l'État et nos partenaires en matière d'infrastructures scolaires et universitaires, d'équipements, de fournitures scolaires, de recrutement et de formation du personnel enseignant. Ces efforts ont produit des résultats appréciables. Chers compatriotes, Je voudrais ici, rendre hommage aux immenses sacrifices des femmes et des hommes qui ont donné et continuent de donner le meilleur d'eux mêmes à l'École et à la plus digne et la plus noble des missions : l'éducation, la formation et la construction de l'être humain. La nation tout entière mesure l'incomparable responsabilité qui s'attache à cette mission. Aussi, je voudrais donner l'assurance, à chacune et à chacun, que le président de la République et le gouvernement sont conscients des conditions dans lesquelles travaillent les enseignants, l'administration scolaire, les élèves, les étudiants et le personnel dans nombre d'établissements. La question n'est donc pas de savoir si les revendications aujourd'hui formulées sont légitimes ou pas. Nous avons conscience qu'elles expriment toutes une forte aspiration à de meilleures conditions de travail. Rien, cependant, ne doit nous faire accepter les comportements anti-pédagogiques qui ternissent l'image de l'éducateur. Le métier de l'éducateur est avant tout un sacerdoce. Un métier si exigeant qu'aucune rémunération ne saurait en récompenser la juste valeur. Chers compatriotes, Aucun parent, pour quelque motif que ce soit, ne peut et ne doit capituler devant ses responsabilités de premier éducateur. La démission grandissante de l'environnement familial face aux enfants est inadmissible. Les élèves et étudiants doivent également se convaincre qu'ils sont les premiers perdants des années scolaires sans fin et des années qui se chevauchent. La violence et l'indiscipline dans l'espace scolaire et universitaire sont inacceptables. L'administration scolaire a fait des efforts, mais elle doit remplir toute sa mission, tout son rôle dans la gestion de l'école avec courage et fermeté. Chers compatriotes, Si les maux de l'école ne tenaient qu'aux aspects infrastructures, effectifs pléthoriques, manque d'enseignants, de bibliothèques, de laboratoires etc..., toutes les réalisations de ces dernières années ont montré notre capacité à y apporter les réponses appropriées. Les nouveaux bâtiments des Facultés de sciences juridiques et politiques et de sciences économiques et de gestion qui seront, très bientôt, inaugurés par le président de la République, ainsi que les importants investissements du Programme d'investissement sectoriel de l'éducation (PISE II), illustrent bien cela. Mais, il y a encore plus inquiétant : c'est la rupture de l'école d'avec ses propres règles et d'avec nos valeurs cardinales. Aussi, s'il y a aujourd'hui un thème qui puisse et doit nous mobiliser tous, c'est celui de la restauration des valeurs fortes à l'école : éthique, discipline, travail et réussite. En cela, la moralisation et le rétablissement de l'autorité sont indispensables. Chers compatriotes ; Il est temps, grand temps de nous retrouver autour de l'École. Nous sommes collectivement responsables de la situation actuelle et nous avons tous envie que cela change. Nous le pouvons, parce que nous avons en nous l'énergie, les valeurs, la détermination, la vitalité et la créativité qui permettent de rebâtir le système éducatif du pays. Parce qu'une nation qui ne peut pas parier sur ses ressources humaines ne saurait parier sur l'avenir ; encore moins un pays qui a l'ambition et les ressources pour aspirer à devenir un pays émergent. Rien de cela, ne sera, sans la disponibilité de ressources humaines de qualité et c'est bien pour cela que « l'éducation reste un levier incomparable pour stimuler le développement ». Bien sûr, bâtir un système éducatif performant demandera du temps, des efforts de tous, des efforts sur nous-mêmes, du courage et de la clarté pour faire des choix judicieux. Il nous faut accepter des compromis utiles et nécessaires pour tracer des perspectives porteuses pour les filles et les fils de ce pays. Mais les réformes ne peuvent être mises en œuvre avec des chances de réussite, que dans la sérénité et dans l'écoute réciproque, toutes choses inaccessibles dans une atmosphère permanente de défiance, de conflits et d'affrontements. Il importe par conséquent de créer les conditions de cette écoute, pour renouer le dialogue, instaurer un climat de confiance, de considération et de respect mutuel entre tous les protagonistes de l'école.

     

    Chers compatriotes ; L'année académique peut être préservée. Les cours se déroulent correctement dans plusieurs ordres d'enseignement, mais la situation est très fragile. Or une nouvelle année perturbée engendrera de nombreuses difficultés, prolongera le cycle infernal des années scolaires sans fin. Il nous faut lever cette hypothèque et amorcer un cycle vertueux de stabilité, de progrès et d'excellence pour notre école et notre université. C'est tout le sens de notre démarche : sauver l'année scolaire 2007-2008 et organiser un débat national sur le futur de notre système éducatif. Démarche que j'ai partagée avec les différentes parties au cours des consultations que je viens d'avoir. Afin de sauver l'année académique en cours, le gouvernement tiendra tous les engagements auxquels il a souscrit, et de leur côté les syndicats devront observer un moratoire sur tous les points n'ayant pas fait l'objet d'accord. Pour sa part, le gouvernement diligentera la mise en œuvre de ses engagements dont certains seront examinés dès cette semaine par le Conseil des ministres. Pour les syndicats, il ne s'agit pas de renoncer à des revendications mais de les suspendre pour mieux les discuter dans un cadre plus global et cohérent, permettant d'assurer aux enseignants des différents ordres de véritables perspectives de carrière. Il ne sied pas que le gouvernement prenne des engagements qu'il ne peut honorer. Et c'est pour cela que je demande aux enseignants, au nom de notre peuple, au nom de l'école qui est leur raison d'être et leur fierté, d'accepter non pas de renoncer mais de surseoir à leurs revendications.

    Chers compatriotes ; J'ai la conviction que notre système éducatif, comme partout ailleurs ne peut être réformé que sur la base d'une vision commune de la mission que nous voulons confier à l'école, à l'université et aux établissements d'enseignement supérieur et de recherche. Chacun des acteurs de l'école malienne a son mot à dire et un rôle à jouer dans la concertation la plus large possible : enseignants de l'intérieur comme de l'extérieur, parents, élèves et étudiants, pouvoirs publics, classe politique et élus, syndicats et organisations de la société civile et du secteur privé. Le gouvernement s'engage à organiser dans les 5 mois à venir un Débat national sur l'école et l'université pour examiner, de façon globale, l'ensemble des problèmes liés à notre système éducatif. Toutes les composantes de notre société y seront associées. Il est certain que la nation est disposée à faire des efforts financiers croissants d'année en année. Aussi, l'école, l'université, les autres établissements d'enseignement supérieur devront accomplir les missions que nous leur aurons collectivement confiées sur la base des ressources que nous aurons décidé de mettre à leur disposition. Aussi, ces assises nationales devront mettre un accent particulier entre autres sur : le remodelage de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en rapport avec nos objectifs de développement socio-économique, comme nous y a engagé le président de la République ; l'Enseignement technique et professionnel axé sur l'emploi ; l'atteinte de la scolarisation universelle ; l'évaluation de la mise en œuvre du PRODEC ainsi que de l'Accord de partenariat pour une école apaisée et performante ; les questions liées à la dignité de l'enseignant : éthique, responsabilité, devoir, rémunération et carrière ; la qualité de l'enseignement et du produit de l'école ; les infrastructures et équipements ; l'administration scolaire ; la sécurité dans l'espace scolaire et universitaire ; et les autres défis de l'école. Je voudrais ici réaffirmer que l'école demeure au cœur de nos priorités. Aucune initiative, aucun prix, aucun investissement, aucun sacrifice ne nous paraît de trop pour donner à notre école ses lettres de noblesse.

     

    Chers compatriotes, Voilà la démarche que j'ai exposée aux différents acteurs et partenaires de l'école cet après-midi. Notre objectif est de réunir les conditions pour stabiliser l'école et faire émerger un système éducatif plus efficace et plus performant répondant à nos aspirations de pays émergent. L'École reste notre bien le plus précieux, aussi voudrais-je en appeler à un sursaut collectif pour un nouveau départ de notre système éducatif >>.

    Source: L'Essor 19 Mars 2008.


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  • Par Okafor G.Une délégation des médiateurs de la Francophonie et des Ombudsmans d'Europe
     discutent depuis hier à Porto-Novo du " rôle et  de la fonction du médiateur de la république au service d'une nation émergente dans une Afrique réconciliée ». C'est autour de ce thème principal que tournent les communications qui vont meubler les assises du colloque sur le rôle et la fonction du Médiateur ; les sujets comme les origines africaines
    de la médiation, le cadre juridique et institutionnel de la médiation, la médiation instrument de stabilité régionale et moteur de développement participatif, seront présentés par des experts nationaux et internationaux tels que Aminata Moussou Ouédraogo,
    Joseph Djogbénou, Joseph Gnonlonfoun, Félix Iroko, Victor Topanou, Cyrille Gougbédji, Jeanne-Agnès Ayadokoun, Jean-Marie Ehuzu, Albert Ekué, Honorat Aguessy, Elisabeth Fourn, M'Bam Diarra. Bénéficiant de la présence du Chef de l'Etat à ses côtés pour
    l'ouverture de ce colloque international, le Médiateur du Bénin, a fait savoir que  le but final de cet exercice , c'est de sortir l'Organe Présidentiel de Médiation de l'état de transition dans lequel les circonstances l'a placé. «  Le temps est venu,
    Monsieur le Président de la République, pour une structure majeure, à l'organigramme reconnu, aux programmes planifiés, à la présence nationale partout
    ressentie et à la reconnaissance internationale accomplie », dit – il au Chef de l'Etat. « Je suis heureux de souligner par la même occasion que
    l'Organisation Internationale de la Francophonie se
    tient prête à nous apporter tout l'appui et toute la
    légitimité qui consacreront le succès de l'entreprise
    »,conclue t-il. En procédant à l'ouverture du
    colloque, le Chef de l'Etat a fait savoir qu'il
    attache du prix à l'existence de la Médiation qui a
    ses origines dans l'Afrique. «  L'histoire nous révèle
    que la médiation est un mode traditionnel dont
    l'Afrique a recours pour réconcilier les peuples en
    rupture », a –t-il dit. Aujourd'hui la médiation a
    fait son entrée dans l'administration pour le
    règlement des conflits. A en croire le Chef de l'Etat,
    il encourage le Médiateur, Albert Tévoédjrê pour son
    dynamisme à intégrer rapidement le réseau des
    Ombudsmans. Fort de l'expérience des Ombudsmans au
    Danemark, l'Ambassadeur du Danemark, près le Bénin, a
    avoué que le Danemark continuera d'appuyer l'OPM pour
    l'aider à acquérir les standards internationaux de
    médiation.









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