• Chers internautes et chers bloggeurs,  nous prenons un nouvel envol à l’orée de 2013 et c’est à juste titre que je me porte à vous pour qu’on médite un instant sur nos échecs et sur nos succès. L’homme, le roseau le plus faible de la nature, s’avance vers le progrès ( progredior) – Espérons que 2013 soit une année de progrès-  où nous explorerons un état toujours plus parfait de notre être.  L'homme, contrairement aux autres êtres vivants, est donc un être qui évolue, en ayant le sentiment que cette évolution s'oriente vers ce qui est mieux. C’est dans cette perspective que je vous formule mes vœux pour cette nouvelle année !!!
    Vive Afriksenatorium , pour que les gouvernants et les politiques soient plus au service du peuple !
    Aïhonnou MartinCool


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    Khadafi, le ditacteur ou le tyran est mort frappé par l' OTAN et ses amis du CNT. 42 ans de règne sans partage et de front au colonialisme europééens et à l'anti-africanisme, le seul chef d'Etat africain, guide de son pays, roi des rois d'Afrique, qui a pu contrôler à lui seul la richesse de son sous-sol, à son grand bénéfice et pour les intérêts de ses compatriotes et de la plupart des pays africains à qui il en donne à tour de bras à travers les couloirs des sommets sahélo-sahéliens. Le seul qui a osé défier les Américains, les Français pour leur dire de laisser en paix l'Afrique se construire et se réunir; le panafricanisme N'krumaiste, avec ses relans des " Etats-Unis d'Afrique" ont fait le tour de la terre, mais ont été étouffés par ses paires africains qui ne peuvent pas résister aux pouvoirs d'argent, aux puissances étrangères et aux prérogatives du pouvoir sans partage comme lui-même. Finalemùent, ils l'ont lâché crayant pour leur peau et leurs strapontins. En 42 ans après, les N'Kruma, les Patrice Loumouba, les Nyerere, et les Thomas Sankara, Moahamar Kahdafi reste le plus téméraire des réformateurs africains. 42 ans de résistance et enfin la chute. Les CNT et L'OTAN célèbrent la mort d'un ditacteur et d'un résistant mais l'Afrique n'aura plus de résistant ni d'Hercule comme Kahdafi qui puisse encore lever le ton sur les Européens et les Américains à un sommet de l'ONU, pour défendre l'Afrique et dire un peu de justice et d'égalité pour tous, pendant plusieurs décennies encore. Il a laisé sa peau sur le champ de bataille, parce qu'il a dit qu'il ne se livrera pas, mais il aurait pu se tirer une balle dans la tête et se faire enterrer dans une tombe inconnue, pour ouvrir une autre page de son histoire. Il a offert des centaines de millions de Lybiens aux CNT et à l'OTAN pour finalement tomber sous le fer. Quel dommage! Pour autant, il ne doit pas être célébré avec des lauriers mais il n'en demeure pas moins un Héro panafricaniste. L'histoire continue de s'écrire.

    La Rédaction de Afriksenatorium.


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  • Par Martin Aïhonnou 59 voix pour 0 contre et 1 abstention, c’est le verdict du vote qui a consacré l’adoption de la loi 2011-25 portant règles générales applicables aux personnels militaires, des forces de sécurité publique et assimilés en République du Bénin, le lundi 26 septembre 2011 au palais des gouverneurs. Déposée sur la table du président de l’Assemblée nationale le 12 septembre 2011, ladite loi étudiée en procédure d’urgence est subdivisée en 3 chapitres répartis en 12 articles. Le 3è chapitre qui aborde les sanctions comprend 3 articles; l’art 10 prévoit la radiation de la fonction publique de tout personnel militaire ou des forces de sécurité publique et assimilé, ayant participe à la grève. En effet “ sont considérés comme personnels militaires: les personnels de la Gendarmerie, de l’Armée de terre, des Forces aériennes et des Forces navales. Les personnels des forces de sécurité publique et assimilés sont ceux de la Police Nationale, de la Douane et des Eaux, Forêts et Chasse”. Rappelons qu’entre autre l’objectif de ladite loi est de “ …faire asseoir des institutions crédibles relevant du domaine de l’exécutif en interdisant le droit de grève aux agents en uniforme pour éviter que des mouvements sociaux intempestifs des forces de sécurité et assimilés, notamment de la douane, hypothèquent dangereusement l’avenir de notre pays…” Malgré la boude l’opposition qui a vide l’hémicycle après les débats généraux, ladite a été vote contre toute attente.


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  • Par Martin Aïhonnou Les députés béninois ont voté ce jour mardi 30 août 2011 aux environs de 5h, la loi portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République dyu Bénin. Transmis par le décret 2006-128 du 29 mars 2006, ladite loi qui regroupe 154 articles a été finalement votée à l'unanimité  par les députés de la 6è législature qui viennent ainsi de doter le Bénin d'une loi importante. Taillée sur la Convention des Nations Unies, adoptée le 31 octobre 2003, ratifiée par le Bénin, qui reconnaît que " la corruption n'est plus une affaire locale mais un phénomène transnational qui frappe toutes les sociétés et toutes les économies", ladite loi prend en compte la corruption en période électorale, le délit d'initié, l'escroquerie et la cavalerie, les infractions relatives aux actes uniformes de l'OHADA et les infractions cybernétiues et informatiques. La loi qui vient d'être votée est une loi imprescriptible et prévoit une peine de 10 à 15 ans de réclusion criminelle etune amende égale au triple de la valeur des promesses agréées ou des choses reçues ou demandées, à tout agent public coupable de corruption. Il est prévue dans la loi une agence nationale de lutte contre la corruption (ANLC), composée de membres assermentés, chargée de livrer à la justice les corrupteurs et les corrompus.


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  • Le Pdt de l'A.N

    Par Martin Aïhonnou Les députés se sont réunis ce jour jeudi 25 août 2011 en séance plénière pour étudier le budget exercice 2012 de l’Institution en perspective de l’ouverture de la session budgétaire qui s’ouvre à mi-octobre 2011. En effet, suivant la lettre de cadrage envoyée par le gouvernement, les parlementaires béninois se sont attelés à voter avant la fin de la première session extraordinaire de la présente législature leur projet de budget évalué à 9 milliards 742 millions 671 mille 083 fcfa contre 10 milliards 098 millions 903 mille 574 fca en 2011 ; soit une diminution de 356 millions 232 mille 099 fcfa représentant – 3.53%. A en croire le président Nago, ordonnateur du budget de l’Assemblée nationale, « le projet de budget qui est voté respecte scrupuleusement la lettre de cadrage envoyée par le gouvernement et qui stipule que le budget de l’Institution ne doit pas dépasser 9 milliards 747 millions 967 mille fcfa ». Du coup, le président Nago ainsi que la commission des Finances évitent au gouvernement de se casser la tête sur un budget débordant qu’il aurait du mal à cadrer dans le Budget Général de l’Etat et des polémiques parlementaires sur la théorie de budget autonome qui ne saurait être cadré d’avance par l’exécutif qui prétexte d’un soucis d’économie et de ressources non disponibles.

     Les réformes et les innovations du budget

    Le président de l’Assemblée, Mathurin Coffi Nago a œuvré cette fois-ci avec le soutien de la mouvance présidentielle, majoritaire à l’Assemblée en ce début de législature, pour que le budget de l’Institution respecte la lettre de cadrage ; aussi a-t-il ordonné la suppression des frais de sevrage traditionnels de trois mois des députés non réélus, ainsi que ceux du personnel de soutien, des agents contractuels en partance et des chauffeurs. Par contre, certaines rubriques du budget ont connu des améliorations au profit des députés eux-mêmes : il s’agit des revalorisations des primes d’installation des députés, de la dotation mensuelle de carburant, des frais d’entretien et de réparation des véhicules, de la revalorisation du point indiciaire des indemnités à 5% et de l’augmentation des primes de logement du personnel administratif à 50%. Une aubaine pour les députés de la 6è législature qui se taperont désormais sur le compte de l’Institution un lap top chacun plus une imprimante pour leur connexion additionnelle à la «société de l’information ».


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