• Data-processing park of the Parliament
    THE EQUIPEMENTS NEED CARE
     The development of Communication and Information Technologies  must follow its normal course in the moment that the  services of State and the Institutions of the Republic  need more  the TICs to increase their outputs. In this case the Beninese Parliament  ,  must  be in dephasing of this reality. The data-processing park of the Parliament, set up concretely by the 4th legislature directed by Antoine IDJI, president of the Parliament; but the management which is made of this park leaves something to be desired for the simple reason that on 5 computers which account the cyber of the Institution,  only one works and is connected after a fashion to Internet network; however lots of  deputies and the civil servants  of the Parliament attend this area. The other sleeve of the question is the default of the care to the computers. In certain offices of the Institution and particularly with the cyber, the tools with knowing PC, inverters, Central processing units etc, have never be cared since a year. Consequently  all the data-processing park of the Parliament is in  piteous state. Which is thus this manner of managing the public property? The authorities of the Parliament are supposed to solve in no time this problem. ; that will make a catch for the good management of the 65 000 000 cfa of computer equipement granted like gift in last middle of week by the People's Republic of China. That is a challenge for Antoine Idji, Chairman of Beninese Parliament. by Martin Aïhonnou
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  •  telecentre.org



                                                                                                                                                       


                                                                                                                                                                              can have impact


     on the communities!!


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  •  
     "Tic au primaire" and PC "Afric" :These 2 word groups are not data-processing concepts but products "made in Benin". They were put on the market there is only 24h. The launching of these 2 products took place yesterday  at the Beaurivage Hotel in Porto Novo. "Tic au primaire" is the name of an illustrated work of data processing, written by Daouda Rasacki, doctor in data processing from Benin. According to the author , this work will bring more to knowledge of the many Benineses in the field of data processing. As for "Afric", it is the trade mark of the computer designed by the latter which intends to make Benin development pole of the Tic Manufactured by the Africans starting from a factory of assembly to the Benin one, Afric is provided with a processor MDA 4800+ with a main memory DDRAM of 256 mega bits and with a hard disk of 80 giga bits supported by 4 ports USB. In a demonstration of the internal diagram of the screen, the originator affirms that the screen of Afric is a screen CRT of 15/17 inches, provided with an optics, of a keyboard mutimedia with enclosures accoustics of 400 Watt. Mr. Daouda Rasacki would have presented this PC for the first time at researchers in the United States, in the “Adam Clayton Powell building '' . To allow everyone to have access to this tool, the originator leaves it at a cost approximately 300 US dollars. A manner of contributing to the development of the Tic to the Benin one. With believing its partnership with SERENA . COM and SILICON VALLEY TECHNOLOGY, this situation "must forcing reduce in a drastic way, the rate of illiteracy of our populations in  field of the Tic.By Martin Aïhonnou


     


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  • BRAS DE FER ENTRE CONSOMMATEURS ET PROMOTEURS
     
    En avril 2000, le Boom téléphonique qui a commencé au Bénin a permis aux populations de toucher du doigt les progrès des TIC en matière de la téléphonie. 6 ans après, le coût de la communication par GSM devient exorbitant pour les consommateurs. Face à cet état de chose dû à la tarification pratiquée par les promoteurs, les consommateurs des produits GSM engagent un bras de fer. Par Martin AÏHONNOU
     
    Depuis 2001, la tarification de la communication par GSM a conduit à un véritable bras de fer entre les consommateurs et les promoteurs des réseaux GSM qui se sont installés les premiers. Au regard des données comparatives sur la tarification pratiquée par les promoteurs des réseaux GSM de  la sous–région et ceux du Bénin, certains consommateurs éclairés montent au créneau pour dénoncer la surenchère des promoteurs Béninois. Me Lionel AGBO, avocat au Barreau de Cotonou et consommateurs des produits GSM est fier d'avoir engagé ce combat contre vents et marrées : « Aujourd'hui, je suis heureux d'avoir été le tout premier  à avoir engagé un combat contre les GSM », déclare t-il au cours d'une rencontre avec la Presse le mois dernier. Ainsi de 2000 à 2006, les quatre promoteurs de GSM présents au Bénin ( à savoir Libercom, Areeba, Télécel et BBcom) revoient à la baisse leur grille tarifaire.A en croire Me Lionel AGBO, satisfait d'avoir gagné le combat sur un front : « il n'était pas évident qu'on puisse téléphoner aujourd'hui à 20 fcfa la minute sur un téléphone fixe ».
    Les statistiques tarifaires en matière de GSM au Bénin affiche en 2000 : Télécel à Télécel 245 fcfa/mn ou 120 fcfa/mn, Areeba à Areeba 150 fcfa/mn ou 100 fcfa/mn, Libercom ( kwabo) à Libercom ( kwabo) 513 fcfa/mn ou 333 fcfa/mn tandis qu'en 2006 Télécel à Télécel affiche 100 fcfa/mn ou 120 cfa/mn, Areeba à Areeba 100 fcfa/mn, Libercom à Libercom 100 fcfa/mn ou 80 fcfa/mn, BBcom affiche 50 fcfa/mn en 2006. Malgré ces chiffres, ,les consommateurs que sont les populations continuent de se plaindre sur les émissions interactives des radios et télévisions de la place que les coûts pratiqués par les promoteurs GSM du Bénin sont trop chers en comparaison avec les coûts pratiqués dans  certains pays de la sous-région. Joint au téléphone hier M. ADOUNSSIBA Gérard, «  grogneur » (qui fait des coups de gueule) sur la Radio Golf FM, estime que : » la tarification actuelle des réseaux GSM est une pure escroquerie ». Selon lui : «  Le Bénin pratique le taux le plus fort dans la sous –région ». BBcom fait un effort de tarification, les autres réseaux coûtent chers et le plus cher c'est Libercom », explique t-il.
    Selon M. Désiré ADADJA, conseiller technique du Chef de l'Etat aux Télécommunications : « aucun promoteur de GSM au Bénin, ne peut dire que les tarifs appliqués aux communications correspondent aux normes internationales ». Du côté des promoteurs, M. CHASSAMA, responsable à l'administration, chargé des TIC, des affaires juridiques et du contentieux à Areeba, estime que la tarification actuelle par minute chez Areeba respecte les
      Tableau de tarification chez Libercom en 2000


















































     

    KWABO


    EUREKA


    ELITE


    ELITE PRO

    HP
    HC
    HP
    HC
    HP
    HC
    HP
    HC

    Libercom   vers Libercom

    171
    111
    159
     
    111
     
    141
    105
    141
    105

    Libercom vers réseau fixe

            216
              201
             192
          192

    Libercom vers autres GSM
           255
              246
             243
          243
     
    NB : HP= Heures  pleines   HC= Heures creuses
    * Les communications sont taxées toutes les 20 secondes avec la première minute indivisible pour les clients postpaid.
     
     
    normes en ce sens que le réseau est internationalement sur satellite. Selon lui : «  les coûts  en matière de télécommunication par GSM devront être minimisés à tous les niveaux s'il y a une volonté politique qui les accompagne ». «  L'interconnexion entre réseaux n'est pas encore autorisée », déclare M. CHASSAMA. «  La location du fibre optique est 11 fois plus cher que le coût pratiqué sur satellite », explique t-il. Il poursuit en disant que l'exploitation judicieuse de la fibre optique et la diminution des charges devront normalement permettre d'avoir une grille tarifaire  harmonisée et une réduction substantielle du coût de la télécommunication. En attendant un eldorado en télécommunication, les consommateurs des produits GSM ne baissent pas les bras, ils poursuivent le combat de la baisse minimale des coûts de la télécommunication au Bénin.
     


    La responsabilité du gouvernement dans le bras de fer

    L'Etat béninois à une part de responsabilité dans l'application des coûts trop élevés d'une part, et la revalorisation à 5 milliards du coût de la licence d'autorisation des promoteurs GSM ainsi que les redevances affectées à diverses charges, ainsi que la non installation d'une instance de régulation, disposant des pleins pouvoirs d'autre part, encouragent les promoteurs GSM à «  gruger » par un système de tarification qui échappe à tout contrôle sur ce que les consommateurs doivent payer s'ils bénéficient des services offerts par ces réseaux. Aussi l'investissement dans l'achat et l'installation des équipements qui avoisinent 5 milliards sont des facteurs qui aggravent la surenchère dans le domaine. Ainsi le gouvernement du Dr. Yayi Boni qui veut faire des TIC un levier de développement doit jouer sa partition pour que les tarifs pratiqués par les promoteurs GSM respectent vraiment les normes souhaitées.
     

    Note : L'article sur « GSM et coût de la télécommunication au Bénin » a été publié pour la première fois le 14 juillet 2006 sur le groupe de discussion :
    http//fr.groupes.yahoo.com/group/ecrire_sur_les_enjeux_des_TIC/ dans le cadre des travaux de terrain à l'issu de la formation des journalistes sur les enjeux des NTIC. Aujourd'hui nous sommes heureux de constater que le coût de la télécommunication va baisser de 20% à 30% et les SMS sont désormais permis entre réseaux à un coût de 50 fcfa depuis ce jour sur décision du chef de l'Etat pour le bonheur des populations ; eh bien c'est chose effective depuis ce matin. L' installation de l'organe de régulation sera aussi chose réelle selon les propos du chef de l'Etat.

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  • LE DECLIC D'UNE NOUVELLE ERE AU BENIN

    Les Technologies de l'Information et de la Communication ont connu une avancée significative ces dernières années avec la numérisation. Au Bénin quelques radio et télévision seulement ont franchi le cap du numérique dans ce monde ou tout est numérisé. Ne pouvant plus reculer devant ce progrès technologique, le Bénin est contraint de se mettre au pas pour envisager l'usage des technologies de pointe dans les médias. Par Martin Aïhonnou

    La mutation en technologies de l'information et de la communication a déjà commencé au Bénin. Entre 1998 et 2001, l'Office de Radio et Télévision du Bénin (ORTB) acquiert de nouvels équipements en vue de rompre avec le procédé archaïque de montage des émissions et des films pour rentrer dans l'ère du numérique ; ce pas technologique qu'a amorcé cette entreprise de Presse a considérablement amélioré ses performances techniques. Ainsi, l'espace audio-visuel béninois a commencé à accueillir d'autres entreprises de presse qui font l'usage du numérique. C'est le cas des entreprises de Presse privée comme la Chaîne2 de M. Christian LAGNIDE, la Gazette du Golfe de M. SOUMANOU et la télévision privée Canal 3, qui ont emboîté le pas à leur aîné qu'est l'ORTB. Aujourd'hui la seule Radio numérisé dans le septentrion est « Fraternité FM ». Malgré cet effort de numérisation des entreprises de Presse au Bénin, beaucoup de chose en matière technologique restent encore à faire, lorsqu'on sait que l'usage du numérique est encore partiel dans l'audiovisuel au Bénin. Car « lorsqu'on parle du numérique, cela suppose qu'on numérise les signaux et le matériel de réception et de transmission », affirme M. Orou Rock SANNI, coordonnateur du Secrétariat exécutif du RIARC (Réseau des Instances Africaines de Régulations de la Communication) au cours de la formation des journalistes sur les enjeux des NTIC, le 11 juillet dernier.
    Aujourd'hui les TIC sont incontestablement le sésame pour viabiliser et rendre performant les entreprises de Presse. Pour cela aucune entreprise de Presse, et surtout celle audio-visuelle ne peuvent rester en marge du numérique. Dans la société mondiale de l'information où le Bénin traîne encore les pas, l'usage du numérique qui vient creuser davantage le fossé de la « fracture numérique » doit constituer un point d'appui vers le concept de « convergence » qui est la transmission simultanée du texte, du son et de l'image par un même canal. Sur ce point beaucoup d'entreprises de Presse audio-visuelle numérisée au Bénin butent encore le pas à l'exception de quelques uns.


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