•                   La convention collective entre en vigueur                

    Les hommes des média sénégalais peuvent désormais pousser un ouf de soulagement quand à l’amélioration de leurs conditions de vie. C’est ce que laisse croire le communiqué signé, hier vendredi 24 septembre 2010, par 4 associations de journalistes et organes de régulation dans les média, reconnues dans l’espace médiatique sénégalais, notamment la CJRS (Convention des jeunes reporters du Sénégal), SYNPICS (Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal), (CODEPS (Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal) et le CORED (Conseil pour le respect de l’éthique et de la déontologie). Au terme de ce communiqué, les gratifications et autres perdiems octroyé aux journalistes sur les lieux de reportages seront supprimés et mis à la charge des responsables d’organes de presse qui emploient ces derniers. «Cette pratique discrédite le métier de journaliste et ouvre la voie au gain facile et par conséquent favorise certains individus, qui se font passer pour des journalistes, faisant de ces gratifications leur principale occupation», dénonce le communiqué. Les organisateurs de manifestations ou de fora qui continueraient sur cette voie, semble dire le communiqué s’expose au délit de corruption. Par ailleurs le communiqué rappelle aux patrons de presse qu’ils doivent assurer un salaire à leur journaliste conformément à la convention collective. Cette décision courageuse des associations et organes de régulation, qui est déjà en discussion sur Facebook, fait beaucoup de mécontents ici dans le rang des pseudos journalistes. C’est en même temps un soulagement et regret pour les organisateurs de manifestations qui ne devront plus prévoir une rubrique pour les perdiems mais devront plutôt passer à la caisse. En tout cas c’est un pas qui vient d’être franchi dans la longue nuit d’application de cette convention collective qui reste inapplicable dans la plupart des pays de la sous-région.


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  • Guy NZOUBA-NDAMA, pdt de l'A.N du Gabon 

    Info express: La deuxième session ordinaire du Parlement gabonnais a été ouverte ce jour au Palais Léon MBA, par Le Président de l’Assemblée nationale gabonnais, Monsieur Guy NZOUBA-NDAMA en présence du Premier Ministre, Chef du Gouvernement,  Paul BIYOGHE MBA, des Présidents des Institutions constitutionnelles, des membres du Gouvernement, des représentants du corps diplomatique et organisations internationales en poste à Libreville, conformément à l'art 41 de la loi no 13/2003 du 19 août 2003 modifiant la Constitution de la République du Gabon qui stipule:

    Art 41: " Le Parlement se réunit de plein droit au cours de deux sessions par an. La première session s'ouvre le premier jour ouvrable de mars et prend fin, au plus tard, le dernier jour ouvrable de juin. La deuxième session s'ouvre le premier jour ouvrable de septembre et prend fin, au plus tard, le dernier jour ouvrable de décembre."

    Billet envoyé par Ayadi Octavie


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