• "Merci de nous avoir délivrés de la dictature!"

    lance une manifestante nigérienne à des soldats

     -  photo afp-

     

    Le colonel Djibrilla Hamidou Hima, président du Conseil Supérieur de Restitution de la Démocatie au Niger suite au putsch du 18 février dernier, http://www.blogg.org/f.php?m=admin&a=contenu ,   a pris le samedi 20 février à Bamako où il s'est rendu, des engagements devant les chefs d'Etat de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), réunis pour leur 14e sommet dans la capitale malienne. « Nous comptons organiser des élections », a-t-il assuré.


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    Note d'information

    La connexion à Internet au Bénin n'est pas une sinécure. Depuis quelques années et plus particulièrement ces derniers jours, la connexion à Internet est des plus désagréables au Bénin: Réseau déconnecté, connexion à faible débit: ce sont là les désagréments auxquels les cybernautes, les blogeurs et les gérants de cyber-cafés, sont confrontés. Ils sont souvent connectés où déconnectés. Malgré l'installation de la fibre optique qui traverse le Bénin, le problème persiste et est des plus préoccupants à l'heure de la numerisation de tous les services administratifs. Les fournisseurs de services internet au Bénin n'arrivent pas à surmonter les difficultés et la qualité des services fournis sont plus ou moins mis en cause. C'est pour comprendre ce qui se passe qu' "Afriksenatorium" se propose de publier en fin de semaine une interview exclusive du ministre délégué auprès du président de la République, chargé des Technologies de l'Information et de laCommunication, Désiré Adadja. A suivre... 


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  • La Lépi et le véto de l’UN

     

    Le chef suprême des Armées, après avoir mis en place toute une armada, pour lancer le RENA, une formule simplifiée de la Lépi (Liste Electorale Permanente Informatisée), a lancé sa troupe sur le champ de bataille. Volontaristes, prompts et engagés, les ministres de la République avaient abandonnés bureaux climatisés et fauteuils roulants pour aller conquérir les Oui du peuple, ingrédients nécessaires pour conclure d’un soutien populaire à la réalisation de la Lépi en dépit du véto de l’Union fait la Nation, un groupe de leaders hétéroclites, rangés en ordre de bataille. Ils ont parcouru tout le pays, du nord au sud de l’est à l’ouest pour sensibiliser les populations, leur inculquer l’urgence d’une Lépi pour les joutes électorales couplées de 2011. De peur que le peuple soit endoctriné par des voix peu recommandables, les ministres avaient tout l’air des agents recrutés par le contrôleur permanent de supervision de la Lépi : plus que l’art de convaincre, ils avaient à leur portée le patois pour faire passer le message convenu. Depuis le Palais, les échos parvenaient au chef suprême des Armées que sur l’autre front, des rebelles étaient prêts à mettre à mal le processus, dans lequel étaient engagés maintenant : le pouvoir, le peuple, les agents recenseurs parachutés dans une zone Z et les cartographes recrutés. Il apparaît évidemment qu’à l’analyse des faits que des désaccords sur des principes de la réalisation programmée d’une Lépi uni décor et non consensuelle, sont la pomme de discorde. C’est alors que le chef suprême des Armées initie une rencontre formelle avec les leaders de l’UN pour s’enquérir des nouvelles qui se répandent dans la cité. Toujours sur ses gardes le chef des leaders évoque des principes non négociables ; il propose une pause du Turbo lancé sur la Lépi qui est un instrument très sensible dans l’appareillage électoral. A défaut de faire marche en arrière, avertit-il, il propose au nom de ses paires d’imposer par la loi un véto qui va contraindre le chef suprême des Armées de déposer les armes. Je dois moi-aussi déposer mon stylo et rentrer dans ce labyrinthe où il m’est maintenant difficile de répondre à cette énigme : « A qui va céder ? »

    Par M.A.

     


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  •           La nouvelle frontière de l’Afrique : Innovation.  Technologie.  Prospérité.

    Un thème en conférenc-débat organisée par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI), organisme canadien, et le Ministère des affaires étrangères et du commerce international (MAECI). à Ottawa au CANADA avec la participation de 350 chercheurs, décideurs, représentants de la société civile au nombre desquels: Venancio Massingue, ministre des Sciences et de la Technologie (Mozambique), Punam Chuhan-Pole, économiste en chef, Bureau de l’économiste en chef, Région de l’Afrique, Banque mondiale, et le professeur Goolam T.G. Mohamedbahi, secrétaire général de l’Association des universités africaines (AUA), le Prof Abdallah Cissé, président de l’Université de Bambey au Sénégal; Ken Wiwa, assistant spécial au Président (relations internationales), République fédérale du Nigéria; François Bugingo, Président de Reporters Sans Frontières; et Gebisa Ejeta, lauréat du Prix mondial de l'alimentation en 2009.  qui débattent depuis hier des questions de l'innovation, de la technologie et de la prospérité dans une nouvelle Afrique; dans le même sillage, à Dakar, un panel d'invité sera sur la Conférence débat que le CRDI organise demain vendredi 5 février 2010 à 17h30 précises avec la Libraire Clairafrique-Université, avenue Cheikh Anta Diop, autour du livre : « Chercheurs et décideurs d’Afrique : quelles synergies pour le développement ? ». L'événement a lieu dans le cadre de la célébration du quarantième (40ème) anniversaire du CRDI.

    Vous êtes invités à participer aux débats via Twitter (#ANF10) et sur Facebook. Pour plus d'infos allez sur:http://www.crdi.ca/FrontiereAfrique/


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